Notre service de nutrition et de suivi pour les fermes robotisées se raffine au fil du temps pour s’assurer de respecter nos valeurs d’autosuffisance, de valorisation des fourrages et d’optimiser la santé du rumen, du foie et des sabots.

Nous incluons toujours les récentes recherches canadiennes (Université de Saskatchewan et Université de Guelph) dans notre travail dans le but d’avoir des visites au robot qui sont les plus routinières et confortables possible. Pour réduire les fluctuations de consommation trop importantes, nous visons servir 95% des besoins nutritifs d’un groupe ciblé dans la RPM. La partie ajoutée dans le robot devra être suffisamment dense pour permettre un ajout maximum de 1,5 kg par visite.

Ceci permet d’avoir un rumen en santé car on contrôle mieux les fluctuations de pH.

Toujours s’assurer qu’il y a beaucoup d’espaces autour du robot pour permettre une circulation fluide, surtout lorsqu’il y a un abreuvoir dans l’allée près du robot. Il est préférable de planifier les activités (nettoyage, alimentation, etc.) tout au long de la journée pour stimuler les visites au robot. La santé des sabots est un point à surveiller.

Les recherches nous montrent aussi que l’utilisation des grains produits à la ferme dans le robot permet le même niveau de productivité que les moulées commerciales cubées.